Bon, en premier lieu, il semble qu'il faille définir assez précisément qui nous visons. Je ne sais pas exactement ce qu'on cherche en disant qu'on doit définir un public cible, mais je suppose que l'objectif est de pouvoir quantifier ce public, et de pouvoir définir comment l'approcher.
Jusqu'à présent, je réfléchissais moins en termes de "public à toucher" que de "en quoi faut-il réagir à l'état des lieux". Donc l'approche de la question est de définir quel public sera susceptible d'être lecteur, consommateur de nos produits, et quel public ne le sera pas.
Je suppose que c'est un travail qu'il va nous falloir faire pour MlS et NJE, les deux ne touchant pas forcément les mêmes gens, mais commençons par MlS.
Here comes the brainstorm.
> Je crois qu'on peut définir le public comme exclusivement post-bac.
> Je ne sais pas trop dans quelle tranche d'âge se situera le lectorat : une bonne partie entre 25-40 ans, je dirais, pour le côté "jeune & culturellement actif". Eventuellement, selon comment les choses se goupillent niveau com, peut-être pourra-t-on séduire un public un peu plus dans les 50-60 ans, je crois que les gens se réintéressent aux livres, à la culture un peu "philomag" et je pense que des gens comme ça pourraient être sensibles à notre proposition un peu réactionnaire et culturelle.
> Je crois qu'on sera entre la culture universitaire (classiques, appareil critique) et underground (graphisme moderne, pensées sur l'économie du livre, ouvrages modernes/étrangers, quelques références à une sorte de pop culture). De fait, notre public sera déjà un public de lecteurs, de gens avec une culture et une curiosité intellectuelle qui les fait s'intéresser à la culture alternative. C'est une bourgeoisie moyenne, estudiantine ou post-estudiantine.
> Dans les références de produits qui touchent un public un peu similaire, en essayant de brasser large...
- Maisons d'éditions : Zulma, éditions de Minuit, Toussaint Louverture,
- Presse : XXI
- Sur Arte, Tracks
Peut-être faut-il tirer un tableau des points forts/faibles de MlS, susceptibles d'attirer ou d'écarter un public. Graphisme, humour, sérieux, etc.
Jusqu'à présent, je réfléchissais moins en termes de "public à toucher" que de "en quoi faut-il réagir à l'état des lieux". Donc l'approche de la question est de définir quel public sera susceptible d'être lecteur, consommateur de nos produits, et quel public ne le sera pas.
Je suppose que c'est un travail qu'il va nous falloir faire pour MlS et NJE, les deux ne touchant pas forcément les mêmes gens, mais commençons par MlS.
Here comes the brainstorm.
> Je crois qu'on peut définir le public comme exclusivement post-bac.
> Je ne sais pas trop dans quelle tranche d'âge se situera le lectorat : une bonne partie entre 25-40 ans, je dirais, pour le côté "jeune & culturellement actif". Eventuellement, selon comment les choses se goupillent niveau com, peut-être pourra-t-on séduire un public un peu plus dans les 50-60 ans, je crois que les gens se réintéressent aux livres, à la culture un peu "philomag" et je pense que des gens comme ça pourraient être sensibles à notre proposition un peu réactionnaire et culturelle.
> Je crois qu'on sera entre la culture universitaire (classiques, appareil critique) et underground (graphisme moderne, pensées sur l'économie du livre, ouvrages modernes/étrangers, quelques références à une sorte de pop culture). De fait, notre public sera déjà un public de lecteurs, de gens avec une culture et une curiosité intellectuelle qui les fait s'intéresser à la culture alternative. C'est une bourgeoisie moyenne, estudiantine ou post-estudiantine.
> Dans les références de produits qui touchent un public un peu similaire, en essayant de brasser large...
- Maisons d'éditions : Zulma, éditions de Minuit, Toussaint Louverture,
- Presse : XXI
- Sur Arte, Tracks
Peut-être faut-il tirer un tableau des points forts/faibles de MlS, susceptibles d'attirer ou d'écarter un public. Graphisme, humour, sérieux, etc.